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Lions indomptables:Brouillard sur le 1984 (10.08.2010)
Redouté pour son influence au sein de l’équipe nationale, le 1984 représenté par Idriss Carlos Kameni, Samuel Eto’o, Gérémi Njitap et Rigobert Song, n’arrête plus de s’offrir en spectacle.La coupe du monde Afrique du Sud 2010 et la Can Angola 2010, ont révélé quelques fissures au sein de l’alliance reconnue à tort ou à raison entre quelques ténors de l’équipe nationale de football du Cameroun.
Il s’agit d’une union sacrée entre quelques cadres de l’équipe des Lions indomptables. Ce 1984 représente en fait les dossards des joueurs. Le 1 désigne Idriss Carlos Kameni ; le chiffre 9 est le numéro de Samuel Eto’o Fils ; le troisième chiffre correspond au dossard de Sorel Njitap et le 4 représenta le maillot de Rigobert Song. Ces Lions indomptables ont été représentés comme des cadres de l’équipe. Certains observateurs soutiennent qu’il valait mieux de composer avec eux pour une place au sein de l’équipe nationale de football de Cameroun.
A l’observation ce block qu’ont disait puissant être entrain de se démanteler. Assez d’éclats de voix rendent compte du mauvais état d’esprit qui a gagné du terrain. Une guéguerre semble désormais de mise.
D’aucuns croient savoir que le déclic a été donné par la désignation de Samuel Eto’o Fils comme capitaine des Lions indomptables, en lieu et place de Rigobert Song qui venait de célébrer ses dix ans de capitanat. L’ancien entraîneur Paul le Guen avait assumé ce choix à son avis nécessaire pour un retour à la discipline, base des victoires au sein de l’équipe. Cette situation a été de nature a eu raison de l’entente au sein du block des cadres de l’équipe nationale désignée par l’appellation 1984. Ce d’autant plus que des indiscrétions n’ont pas arrêté de faire état des dessous du retrait de titre de capitaine à Rigobert Song. Des camps ont vu le jour de manière voilée pour le commun des supporters des Lions indomptables. Alors qu’il y avait de l’électricité dans l’air. Les victoires et surtout la qualification des Lions indomptables du Cameroun à la coupe du monde Afrique du Sud 2010 auront eu raison de
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l’animosité et de quelques rancœurs. Celles-ci prendront de l’ampleur à la suite de quelques regroupements sans Rigobert Song et Sorel Njitap. Ce d’autant que des indiscrétions ont par la suite soutenues qu’ils pourraient être les grands absents des Lions indomptables à la coupe du monde de football, Afrique du Sud 2010.
Dans les coulisses des entretiens ont suivi prenant l’allure de lobbying en faveur ou contre certain. Paul le Guen n’a pas pu assumer la non sélection de Rigobert Song qui pour ses nombreux fans incarne l’esprit conquérant des Lions indomptables. Il finira par retenir Rigobert Song et Sorel Njitap, deux joueurs qui selon leurs détracteurs sont passés à côté de la Can Angola 2010. Une paix des braves avec le reste de l’équipe suivra. Le climat s’est détérioré par la suite. C’est la raison pour laquelle d’aucuns ont soutenu que le Cameroun à été éliminé au premier tour de la Coupe du Monde Afrique du Sud 2010, davantage a cause du mauvais management des rapports interpersonnels. Ce qui a rendu impossible la cohésion au sein des Lions indomptables. En connaissance de cause, un cadre du Minsep a soutenu que certains Lions indomptables jubilaient quand le Cameroun prenait un but.
D’autres tentatives de réconciliation ont suivi sans effets. Samuel Eto’o, le capitaine se trouva contraint de faire des démentis, notamment à Pretoria où il s’est employé à convaincre les journalistes du monde entier qu’il n’y a pas eu de bagarres au sein des Lions indomptables contrairement aux « rumeurs relayées ». Le coach a juste reconnu que l’ambiance au sein de l’équipe n’était pas bonne. Non convoqué pour le match amical de mercredi prochain contre la Pologne, Idriss Carlos Kameni rapporte Camfoot, a : « Dans une intervention sur Sweet FM, radio émettant depuis Douala, le gardien de l’Espanyol de Barcelone s’est dit très déçu d’avoir vécu « sa » coupe du monde sur le banc des remplaçants. Durant le séjour des Lions en Afrique du Sud, il a été rapporté que les relations entre le capitaine Eto’o et certains de ses coéquipiers, dont Kameni, étaient exécrables. »
Écrit par François Xavier Eya
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